Peut-être avez-vous vous aussi conduit dans la voie la plus à gauche d’un tunnel lorsque vous réalisez, 30 secondes après la chute du signal GPS, que vous devez sortir par la voie la plus à droite.

Comme beaucoup de villes, le district a des lacunes où les applications de navigation comme Google Maps, Apple Maps et Waze laissent tomber la connexion dans des tunnels sous l’eau ou sous terre. En conséquence, les conducteurs peuvent ralentir ou même faire une pause au milieu de la circulation, créant des conditions dangereuses, ou ils vont dans la mauvaise direction jusqu’à ce que leurs applications se resynchronisent et qu’ils puissent faire demi-tour.

Pour résoudre ce problème, le ministère des Transports de D.C. s’associe à Waze, une filiale d’Alphabet Inc. (NASDAQ : GOOGL) qui fournit des logiciels de navigation par satellite, pour intégrer une nouvelle technologie dans trois tunnels près du National Mall : Third Street, Ninth Street et 12th Street NW.

« Cette technologie permettra une navigation plus transparente, en particulier pour les visiteurs et les résidents qui sont moins familiers avec la configuration de nos voies de tunnel et les emplacements de sortie », a déclaré Everett Lott, directeur de DDOT, dans un communiqué.

Le programme Beacons de Waze utilise des appareils compatibles Bluetooth qui sont installés sur les murs des tunnels et émettent un signal à sens unique, partageant des données de trafic actives et des informations de routage aux conducteurs utilisant l’application Waze ainsi qu’aux utilisateurs d’Android utilisant Google Maps.

L’appareil a la taille d’environ trois rondelles de hockey, empilées les unes sur les autres, a déclaré Gil Disatnik, le chef de Waze Beacon. Leurs batteries durent entre quatre et six ans.

« Pensez-y comme à des ampoules qui émettent de la radio au lieu de la lumière », a déclaré Disatnik dans une interview.

Le programme ne stocke ni ne collecte aucune information via les appareils ou les véhicules et les conducteurs qui les utilisent, a déclaré Waze.

En mars 2021, DDOT a acheté les appareils au fabricant HID Global, basé à Austin, au Texas, pour un total de 5 633 dollars avec des fonds fédéraux, a déclaré un porte-parole de DDOT. Ferruvial Services International, basé à Madrid, en Espagne, a installé les appareils plus tôt cette année dans le cadre d’un contrat d’environ 16 000 $ avec DDOT.

Waze s’est d’abord connecté avec DC au sujet du programme pendant les premiers jours de Covid, a déclaré Disatnik. Après de légers retards, le déploiement a été officiellement achevé lorsque les 180 appareils des trois tunnels ont été mis en service le 8 juillet.

« Normalement, lorsque nous travaillons avec des agences gouvernementales, elles ont tendance à prendre leur temps, mais ces gars-là ont en fait agi très rapidement », a-t-il déclaré.

Waze gère les appareils pour DDOT sans frais – la société négocie des remises par l’intermédiaire des fabricants d’appareils pour les agences gouvernementales, y compris DC, a déclaré Disatnik. La technologie Beacons est open source.

Disatnik a lancé Waze Beacons en 2016, après en avoir eu marre des signaux perdus en traversant les tunnels de Boston. Il a d’abord présenté l’idée lors d’une conférence interne de l’entreprise à Washington D.C. avant que le programme ne s’étende à Boston, Pittsburgh, New York et Paris, puis revienne localement, bouclant la boucle.

« Je suis vraiment heureux que cela obtienne de plus en plus d’agences à travers le monde et aux États-Unis, en particulier, parce que cela a un impact », a déclaré Distanik. « Cela améliore la vie et la sécurité de nombreuses personnes, et le fait que nous puissions le faire à un coût minimal pour toutes les personnes impliquées, je pense, est une énorme victoire pour tout le monde. »

Disatnik a refusé de dire si Waze avait l’intention d’étendre le programme à d’autres juridictions ou tunnels du Grand Washington.

Depuis 2016, le dispositif de géolocalisation européen « Galileo » est opérationnel. Il est aujourd’hui utilisable sur plusieurs centaines de téléphones — et le vôtre en fait probablement partie.

Qu’est-ce que Galileo ?

Si l’on emploie communément le terme « GPS » pour parler des systèmes de géolocalisation au sens large, ce terme renvoie initialement à la constellation satellitaire Global Positioning System, déployée sous ce nom en 1994, à l’initiative de l’armée américaine.

Depuis, d’autres systèmes ont vu le jour : le russe GLONASS, le chinois Beidou… Et l’européen Galileo. Bien qu’elles soient sous la responsabilité de leurs pays fondateurs respectifs, ces quatre constellations sont, dans les faits, interopérables : la plupart des appareils cumulent les données des différents standards, et privilégient le signal le plus précis d’entre eux.

Composé d’une trentaine de satellites, Galileo est donc le dispositif de géolocalisation européen, qui a été lancé fin 2016, et qui comptait plus d’un milliard d’appareils (grand public ou institutionnels) compatibles en 2019. Il comporte un triple avantage par rapport aux autres systèmes en place :

• une meilleure précision : plus fiable, le signal de Galileo géolocalise au mètre près ;
• une meilleure intégrité : alors que tous les autres dispositifs de géolocalisation sont sous gérance militaire, Galileo est une initiative civile ;
• une meilleure indépendance : Galileo permet aux pays européens de posséder leur propre écosystème, et de ne pas dépendre des autres puissances mondiales en matière de navigation.

Les systèmes mondiaux de navigation par satellite (GNSS) fournissent un service que beaucoup de gens tiennent pour acquis. Les applications GNSS que les gens utilisent se répartissent en cinq grandes catégories : localisation (détermination d’une position), navigation (se déplacer d’un endroit à un autre), suivi (surveillance des mouvements de personnes ou d’objets), cartographie (création de cartes du monde) et synchronisation ( temps de calcul). En règle générale, un GNSS possède une constellation d’au moins 24 satellites en orbite terrestre moyenne (à environ 12 550 miles de haut) répartis dans le monde entier pour fournir un service mondial.1 De telles capacités GNSS sont considérées comme si essentielles que les pays et les alliances ne veulent tout simplement pas s’appuyer les uns sur les autres pour un système désormais considéré comme indispensable à la souveraineté. Le GNSS prend en charge des millions d’applications qui suivent et analysent notre vie quotidienne, de l’agriculture à la finance en passant par un Internet fiable. Autrement dit, c’est devenu un service vital.

Le GNSS a été créé il y a près de 50 ans lorsque des scientifiques américains ont lancé un système de positionnement global (GPS). Aujourd’hui, quatre pays utilisent le GNSS : les États-Unis ont le GPS, la Russie a le GLObal NAVigation Satellite System (GLONASS), l’Union européenne (UE) a Galileo et la Chine a le système de navigation par satellite BeiDou, généralement appelé « BeiDou ». Le Japon et l’Inde ont des systèmes régionaux, et même le Royaume-Uni prévoit sa propre constellation depuis qu’il a quitté l’UE.

Avec le lancement de son dernier satellite pour atteindre la pleine capacité du système, la Chine a terminé BeiDou en juin 2020, et le système et ses fonctionnalités ont fait l’objet d’une grande attention jusqu’à présent.

Mais BeiDou n’est que le dernier GNSS à être mis en ligne depuis que les États-Unis ont développé GPS. Bien que de nombreuses spéculations et débats existent, il n’est pas clair si BeiDou importera aux États-Unis et aux autres puissances occidentales. Un examen des différents types de GNSS révèle des différences dans leur développement et leur utilisation/adoption militaire ainsi que dans la réponse internationale à leur égard. Cet examen plus approfondi met en lumière l’impact probable de BeiDou, car il prend en compte l’intégration du système avec l’initiative chinoise Belt and Road (BRI), les relations avec la Russie et l’UE, les problèmes de sécurité et une précision relative. Une analyse minutieuse de BeiDou et de l’environnement multi-GNSS révèle que, bien que BeiDou ne représente pas un coup technologique pour les Chinois, il constitue une érosion progressive du prestige technique américain en présentant une alternative viable au GPS dans un secteur important que des milliards de les gens du monde entier utilisent chaque jour.

GPS

Les chauffeurs qui livrent de la nourriture et des boissons pour Just Eat ont été licenciés après avoir été mal dirigés par un système GPS à prix réduit, selon le syndicat qui les représente.

Les coursiers, qui travaillent pour Stuart, une entreprise qui fournit des chauffeurs à certains des plus grands noms de restaurants et de magasins de détail en Grande-Bretagne, ont déclaré à l’Observer qu’ils avaient été licenciés par e-mail pro forma après avoir été mal localisés par le système GPS ou avoir dévié d’itinéraires impossibles ou dangereux.

Le Syndicat indépendant des travailleurs de Grande-Bretagne (IWGB) affirme qu’il y a des dizaines de coursiers pour Stuart dans les villes du pays, d’Exeter à Leeds, qui ont perdu leur emploi de cette façon. Ceux qui ont parlé à l’Observer ont décrit leur douleur face à ce traitement et leur anxiété quant à leur capacité à payer le loyer, les factures et les dépenses de base alors que le coût de la vie continue d’augmenter.

Alex Marshall, président de l’IWGB, a déclaré que les cas étaient « parmi les exemples les plus flagrants d’une économie de concerts qui presse de plus en plus les travailleurs autant que possible, puis les abandonne sans aucune responsabilité.

« La décision d’utiliser ce système GPS vise à réduire les coûts pour Stuart, mais les ramifications pour les coursiers sont énormes », a-t-il suggéré.

« Les gens perdent leurs moyens de subsistance en un instant et ceux qui travaillent encore mettent leur vie en danger. » Les preuves partagées avec l’observateur suggèrent que Stuart a amené son système GPS en interne comme mesure de réduction des coûts et qu’il est conscient des problèmes.

Dans une conversation par message direct sur Twitter, partagée avec l’Observer, un cadre supérieur de Stuart peut être vu en train de dire à un coursier : « Stuart a un service d’itinéraires construit en interne et ce n’est pas génial. Nous avions l’habitude d’utiliser les directions de Google Maps, mais ils ont multiplié le prix par 10. »

Lorsque le coursier répond « les gens sont licenciés pour avoir prétendument dévié des itinéraires et vous venez de dire que c’est faux », le responsable reconnaît : « ce n’est pas parfait oui ».

Jusqu’en mai, Adnan Odawa, 35 ans, travaillait à temps plein pour l’application Stuart, commençant chaque jour chez McDonald’s à Sutton Coldfield. Un mardi matin, il a fait le trajet à vélo de 10 miles depuis son domicile à Birmingham comme d’habitude, sortant son téléphone à son arrivée pour se connecter à l’application comme il l’avait fait au cours des trois dernières années. Mais ce matin-là, il a reçu un nouveau message : son compte avait été résilié et son accès à la plateforme bloqué.

Dans un e-mail pro forma vu par l’Observateur, Stuart a déclaré à Odawa que plusieurs de ses livraisons avaient été « signalées pour des retards importants causés par des détours excessifs », dont trois numéros de commande indiqués dans l’e-mail.

Odawa n’en a pas reconnu deux et le troisième était lié à un travail où il était arrivé à l’heure et avait effectué la livraison mais, dit-il, le GPS intégré à l’application a mal localisé l’adresse, l’obligeant à parcourir près d’un mile au mauvais endroit. pour marquer le travail comme terminé. « J’ai été choqué », a-t-il déclaré. « Je me suis dit : ‘Si tu as un problème avec moi pour la première fois en trois ans, tu pourrais au moins m’envoyer un message et me le faire savoir.’ »

Pour Odawa, céder au GPS était la seule option. L’application comprend une fonction de chat permettant aux coursiers de résoudre les problèmes pendant le quart de travail, mais lorsqu’Odawa l’utilisait auparavant, il avait dû attendre jusqu’à une heure, incapable de joindre un humain.

Des captures d’écran partagées avec l’Observer montrent des courriers plaidant de la même manière leurs cas auprès du chatbot, qui répond à plusieurs reprises : « Pas de soucis, un agent le prendra d’ici » et : « Ceci est un message automatisé, veuillez ne pas répondre » avant de leur demander d’évaluer la conversation en cliquant sur un emoji.

Après la fin de son emploi, Odawa a envoyé à plusieurs reprises des e-mails à Stuart, mais n’a reçu en retour que des e-mails standardisés, indiquant que sa demande de réintégration avait été rejetée et que la décision était définitive.

Marshall a déclaré que l’IWGB avait enquêté sur 55 cas depuis mars 2021 et que, dans la plupart des cas, les coursiers n’avaient pas eu la possibilité de revoir la décision avec une implication humaine.

Un formulaire d’appel en ligne a été introduit fin 2021 après la campagne syndicale, mais il indique que les licenciements ne seront examinés que lorsque les coursiers peuvent fournir une « preuve objective » qu’ils n’étaient pas en faute. Stuart peut légalement licencier les coursiers sans avertissement ni motif car ils sont classés comme des entrepreneurs indépendants et non comme des employés.

Des captures d’écran et des photographies partagées avec l’Observer montrent un chauffeur à Plymouth en train d’être acheminé à travers un chantier de construction, avec des panneaux d’avertissement visibles, et un chauffeur du sud-est de Londres envoyé par une fermeture de route. D’autres montrent qu’un conducteur de l’est de Londres est invité à enfreindre les règles de circulation en tournant à droite malgré un panneau interdisant de tourner à droite.

Bien que moins connu que Deliveroo ou Uber, Stuart – filiale de la société de colis DPD – est un acteur majeur de la gig economy. Elle est active dans plus de 100 villes dans le monde, notamment au Royaume-Uni en tant que sous-traitant de Just Eat en Angleterre et au Pays de Galles. Just Eat a refusé de commenter.

Sandeep Salgotra, 36 ans, a travaillé à plein temps avec Stuart à Leicester jusqu’à ce qu’il soit licencié en avril en raison du « blocage et de la manipulation du GPS ». Avant son licenciement, il affirme avoir reçu un certain nombre d’avertissements sur le problème, qu’il n’a pas compris, car il n’a trouvé aucun problème avec sa connexion GPS.

Lorsque Stuart n’a pas répondu à ses questions, dit-il, il a changé de fournisseur de réseau. Lorsque les avertissements se sont poursuivis, il a dépensé 1 500 £ pour un nouveau téléphone, mais rien n’a changé. Finalement, il a reçu une réponse de Stuart, vu par l’Observateur, lui disant : « Vous n’avez pas à vous soucier d’être signalé à ce stade… Pour l’instant, tout va bien avec votre statut. Deux semaines plus tard, dit-il, il a été licencié.

«Cela a été vraiment douloureux et je me bats; Je soutiens ma famille car ma femme ne travaille pas », a déclaré Salgotra. « Je n’ai jamais rien fait de mal dans ma vie. Je ne comprends pas pourquoi Stuart nous traite de cette façon.

D’autres coursiers qui ont parlé à l’Observateur après avoir été licenciés pour des raisons d’acheminement et de GPS ont également décrit la confusion quant à la cause de leur licenciement et leur frustration face au refus de l’entreprise de répondre aux messages ou d’engager une discussion.

Un coursier dit avoir envoyé plusieurs e-mails à Stuart expliquant que sa connexion téléphonique était parfois interrompue dans la zone rurale où il livrait, mais n’a pas reçu de réponse. Un appel qu’il a déposé en février est jusqu’à présent resté sans réponse, dit-il.

Un autre courrier a reçu un e-mail de résiliation citant une « manipulation GPS » alors qu’il était à l’hôpital en convalescence après un accident de la route survenu au cours de la nuit précédente. Ses e-mails ultérieurs, qui comprenaient des photos de sa moto radiée, sont restés sans réponse.

Marshall a déclaré que les courriers licenciés étaient « supposés sans aucun doute agir frauduleusement et se voir refuser un processus juste et approprié ». De nombreux nouveaux coursiers sont des travailleurs migrants récemment arrivés dans une région qui ont besoin du système GPS et sont donc vulnérables à ses défauts, souligne-t-il.

Le syndicat affirme que les problèmes de GPS ne sont qu’une des nombreuses préoccupations des coursiers de Stuart, dont certains sont engagés dans la plus longue grève de l’économie des concerts sur les salaires et les conditions. Plus tôt dans la grève, Stuart avait accepté de résoudre un problème qui avait entraîné le licenciement injuste de coursiers dont les détails d’assurance avaient été incorrectement enregistrés par l’entreprise.

Un porte-parole de Stuart a déclaré que la société « prend très au sérieux la question de la délocalisation des coursiers », ajoutant: « Nous ne pouvons pas commenter publiquement les cas individuels, mais nous ne prenons la décision de nous déconnecter que lorsque nous avons de nombreuses preuves à l’appui. soutenir notre décision, sans exception.

Ils ont ajouté: « Stuart gère un processus d’appel qui est suivi dans tous les cas où un appel est soumis. »

Pour les coursiers, les effets des résiliations sont profonds. « J’ai dû dire à mes enfants que nous ne pouvions aller nulle part cette année, nous restons juste en Angleterre », a déclaré Odawa, père de trois enfants.

« [Stuart] agit comme si nous n’étions rien ; ils arrêtent simplement de répondre et continuent.

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L’emplacement géographique GSM est déterminé en fonction de l’antenne GSM (c’est-à-dire,
la tour cellulaire qui est habituellement utilisée pour transmettre des données au téléphone
mobile). Selon la densité de l’antenne, la précision de ce positionnement peut aller de 200
mètres à plusieurs kilomètres. Dans les zones urbaines, la densité est plus élevée, donc il a un
meilleur positionnement que les zones rurales. Généraliser avantages : faible consommation,
démarrage rapide ; inconvénient : la porte géographique dépend du réseau de l’antenne
relais. Lorsque le nombre d’antennes est petit, l’emplacement géographique est impossible.
Depuis le lancement de l’iPhone en 2007, les téléphones intelligents sont toujours populaires
auprès des particuliers et des professionnels. Désormais, les entreprises qui souhaitent créer
des solutions de géolocalisation peuvent choisir. Ils peuvent équiper une flotte de véhicules
professionnels de GPS embraqués ou utiliser des applications de géolocalisation sur le
smartphone du conducteur. Evidemment, si les employés de l’entreprise ne sont pas
motorisés, il n’y aura pas de problème : la cible géographique via les smartphones est le plus
approprié. En revanche, si l’entreprise gère un certain nombre de véhicules professionnels,
les fonctions fournies par les smartphones seront plus restreintes : le véhicule ne put pas être
localisé de manière permanente, mais uniquement lorsque le conducteur est dans le véhicule :
s’il est volé, le véhicule ne peut pas être localisé ! La batterie et l’autonomie sont limitées.
Couts plus élevés (communication, internet, etc.).
Le smartphone localise le conducteur au lieu de l’emplacement géographique du véhicule : si
le smartphone est oublié, perdu ou volé, le véhicule ne peut plus être retrouvé. Impossible de
récupérer les données relatives au moteur ou à la conduite. De nombreux collaborateurs
utilisent les téléphones professionnels à des fins personnelles : il y’a donc une question de
respect de la vie privé.

• Grace au système de géolocalisation des véhicules de société « en temps réel », il permet
  d’optimiser considérablement la gestion de flotte, d’économiser du carburant et des
  couts de maintenance et d’augmenter considérablement la productivité, les couts de
  carburant peuvent représenter jusqu’à 25% des couts supportés par les entreprises de
  transport routier. La localisation des véhicules et le système de gestion de flotte de
  l’entreprise réduisent ces couts, grâce à la réduire des trajets en calculant les trajets les
  plus courts ou les plus économes en carburant, dans le cas d’un convoi dispersé,
  déterminer le véhicule le plus proche de la cible de la mission, analyser le comportement
  de conduite du conducteur, réaliser le meilleur entretien du véhicule grâce à l’analyse en
  temps réel des points mécaniques clés, et formation à l’éco-conduite parois vendue avec
  le système de géolocalisation.
•  Etant donné que plusieurs capteurs peuvent être installés dans le parc de véhicule et
  connectés au système de localisation géographique, il est possible d’analyser l (usure de
  différentes pièces clés du véhicule en temps quasi réel et de définir des alarmes lorsque
  des valeurs anormales se produisent. Par conséquence, la prévention peut être évitée au
  lieu de la prévention, et les opérations de maintenance peuvent être mieux planifiées en
  fonction des conditions de chaque véhicule. Les différents points de contrôle en temps
  réel possibles comprennent char, niveau t température d’huile, température de moteur,
  frein, kilométrage, accélérer….
•  Grâce au système de localisation géographique, la gestion de flotte est également plus
  efficace pour augmenter la productivité des activités exercées sur la route en général. De
  plus, en plus de constituer le véritable logiciel de gestion de flotte, le meilleur logiciel de
  géolocalisation est également conçu comme une application métier pouvant être intégrée
  dans l’environnement logiciel de travail spécifique de chaque département. Par
  conséquence, l’emplacement géographique peut minimiser à tout moment le temps non
  productif de chaque lorsqu’ ils sont réellement disponibles, afin de réduire le temps
  nécessaire au rapport à la fin de l’allocation, une grande partie du rapport est automatiquement saisie dans le rapport configurable de la solution, afin e réduire le temps d’inactivité de chaque véhicule de la flotte, quel que soit le conducteur, En optimisant la maintenance, utilisez le même véhicule plus longtemps, améliorer la satisfaction des clients en leur donnant accès aux informations de localisation géographique des véhicules impliqués dans leurs commandes dans certaines restrictions.

La situation géographique des véhicules agricoles a apporté de réelles améliorations de
performance et de confort de travail aux professionnels de ce domaine. Dans les activités
agricoles, le GPS présente les avantages suivant : tout d’abord l’emplacement
géographique permet d’identifier avec précision les parcelles, quelles que soient leur
taille et leur configuration, quelle que soit la météo, la fonction de guidage par satellite
peut également automatiser le processus de conduite du véhicule. L’épandage ou la
pulvérisation sous la pluie ou le brouillard est tout à fait possible. Pour aider davantage
les véhicules agricoles, certains GPS agricoles offrent désormais les avantages d’un
système de navigation d’itinéraire grâce à u logiciel intégré et des barres de navigation.
 Cette automatisation de la gestion du parc de véhicules agricoles augmente la
production en augmentant les heures de travail des sols et des cultures. La trajectoire
précise empêche le compactage du sol et les passages de roues inutiles dans la mauvaise
position. Pour les opérateurs de machines agricoles, le GPS limite le stress et la fatigue,
grâce aux options de surveillance du kilométrage et de retour des données, le suivi de la
maintenance de la machine, de la consommation de carburant, l’analyse des
performances et du rendement de chaque véhicule devient très simple et vous permet
de gagner de précieux points de productivité. En plus la flotte, il est même possible
d’équiper du matériel agricole d’un système de positionnement géographique à un prix
très abordable, une méthode simple et fiable pour éviter la perte et le vol de matériel,
sui peuvent causer des dommages à toute entreprise agricole.
– Compte tenu de tous les avantages qu’il porte, le prix du GPS agricole n’est généralement
pas très élevé. L’entreprise utilise son outil en ligne pour accompagner les agricultures et
les opérateurs dans le choix d’une solution GPS agricole, ce qui leur permet de recevoir
plusieurs devis et de les comparer.

Les urgences médicales nécessitent une grande réactivité et une organisation
particulièrement bien organisée afin d’apporter des solutions très rapides aux problèmes
de santé pouvant avoir des conséquences graves. Il est presque indispensable d’équiper
une ambulance d’un système de positionnement géographique. Les options configurées
doivent permettre de trouver l’ambulance le plus proche dès que possible, optimiser les
services d’urgence et raccourcir le temps de repense, faciliter la transmissions des
informations (adresse du paiement , état de santé, etc.) afin de raccourcir l’heure
d’arrivé, veuillez raccourcir le temps de trajet (grâce au système d’aide à la navigation qui
prend en compte les embouteillages, les accidents, les travaux routiers, etc.) pour les
professionnels du transport d’urgence, vous devez : peut trouver l’ambulance la plus
proche du point d’intervention au plus vite, raccourcissez le temps de trajet afin d’arriver
le ,plus rapidement possible sur les lieux de l’incident, et aussi faciliter la transmissions
des informations.
Par conséquence, les équipements de géolocalisation utilisés dans les ambulances
doivent assurer les fonctions suivantes :
– Attribuer des véhicules à des taches désignées
– Communiquer avec le gouvernement central et fournir une liste de taches
– Planifier d’itinéraire
– Information client en temps réel (heure d’arrivé ou retard éventuel)
– Reporting et suivi d’activité : kilomètres parcours, temps de parcours, temps
d’intervention.

Les unités GPS sont les systèmes de géolocalisation des véhicules les plus courants, il existe
également d’autres types d’équipements : des unités GSM / GPRS, des balises RFID, des
trackers ou encore des applications pour smartphones. Ce petit émetteur permet la
géolocalisation du véhicule dans lequel il est embraqué, avec une précision de 10 à 15 mètres.
Equipé d’une puce électronique, le boitier GPS capte les signaux émis par un réseau de
satellites lui permettant de calculer sa position géographique exacte.
Il existe deux types de boitiers GPS :
– Le boitier GPS avec écran : placé sur le tableau de bord, il est couplé avec un logiciel de
cartographie permettant d’afficher la position du véhicule sur un plan. Il est utilisé le plus
souvent comme une solution d’aide à la navigation.
– Le boitier GPS sans écran : essentiellement utilisé pour assurer le tracking du véhicule, il est
facilement dissimulable (sous un siège, par exemple), limitant ainsi le risque de vol. Il peut
toutefois également servir d’aide à la navigation s’il est équipé d’une commande vocale.
Les unités GPS fonctionnement à l’aide d’une batterie (rechargeable ou alimentée par
batterie). Certains modèles peuvent être branchés sur l’allume-cigare. En raison de la
consommation d’énergie élevée de ces systèmes de géolocalisation, il est important de faire
attention au mode d’alimentation choisi. Contrairement à l’unité GPS, l’unité GSM / GPRS
n’utilise pas de signaux satellites pour se géolocaliser. Elle utilise des antennes GSM, la
géolocalisation de votre véhicule avec un boitier GSM / GPRS est donc comparable à une
solution de téléphonie mobile.
Le boitier GSM / GPRS est équipé de : un modem, qui permet la transmission de la voix et
facilité les communications avec le véhicule équipé. Une carte SIM, couplée à un package
adapté, souscrit auprès d’un opérateur. Ce système de géolocalisation est dés économique
mais nésite que le véhicule se trouve dans une zone couverte par le rideau mobil. Il n’est donc
pas adapté aux déplacements dans les zones très montagneuses ou dans certaines zones
rurales mal couvertes.-

Le positionnement géographique est un outil important pour tous les professionnels du
service de transport et de livraison des marchandises. Il existe plusieurs solutions qui
permettent d’offrir des fonctions pour s’adapter aux problèmes de telles activités :
– Optimisation du calcul d’itinéraire, détection de changement d’itinéraire et suggestion
d’itinéraire alternatif
– Attribuer des véhicules à des tâches données, envoyer / recevoir des ordres de tâches
– Rapports détaillés: calendrier, kilomètres parcourus, nombre d’interventions réalisées
…
– L’éco-conduite
Les appareils de géolocalisation ne sont pas réservés aux voitures. S’il est évidemment
possible de géolocaliser un camion ou un scooter, vous pouvez également équiper un vélo ou
même un coursier ambulant pour augmenter sa productivité.
Les transporteurs, les entreprises de messagerie et le personnel de livraison bénéficient d’abord
des avantages de la situation géographique. L’entreprise de livraison des marchandises doit
choisir un plan qui aide à livrer les marchandises le plus rapidement possible :
– Coordination avec les clients
– La communication avec le chauffeur est plus pratique (en cas de retards, annulations…)
– Suivi en temps réel des opérations (collecte, déplacement, livraison, etc.)
– Aide à la navigation-